Azerbaïdjan-France, Bixente Lizarazu se lâche en direct

Aux commentaires du match Azerbaïdjan-France, dimanche sur TF1, Bixente Lizarazu n’a pas compris pourquoi un but des Bleus avait été refusé.

C’est à Bakou, contre l’Azerbaïdjan, que l’équipe de France a conclu ce dimanche les éliminatoires de la Coupe du monde 2026. Une rencontre sans véritable enjeu puisque les Bleus ont validé leur qualification dès jeudi, en battant l’Ukraine au Parc des Princes (4-0).

Et si le match a mal commencé pour les Tricolores, surpris sur un but de Renat Dadashov (0-1, 4e), la tendance s’est vite inversée avec l’égalisation signée Jean-Philippe Mateta, de la tête (1-1, 17e). De quoi remettre les joueurs de Didier Deschamps sur les bons rails.

Sept minutes ont même failli suffire aux Français pour prendre l’avantage, sur une frappe de Malo Gusto détournée par Christopher Nkunku (24e). Déviée de la main, a estimé l’arbitre M. Treimanis, alors que l’attaquant de l’AC Milan avait son bras collé au corps.

L’incompréhension de Bixente Lizarazu

Une décision incompréhensible pour Bixente Lizarazu, aux commentaires sur TF1 avec Grégoire Margotton. « Je ne sais pas où il peut le mettre, le bras. Il est collé à son corps. Je ne sais pas ce qu’il peut faire. Il peut se le couper, peut-être… Didier n’est pas d’accord, comme moi. »

Il y a effectivement de quoi s’interroger sur ces mains dans la surface qui, d’un match à l’autre, sont rarement jugées de la même manière. Sauf que dans le cas présent, le sifflet letton ne s’est pas trompé : les mains offensives amenant un but doivent systématiquement être sanctionnées.

Une règle que le journaliste et son consultant ont d’ailleurs rappelée en seconde période, le champion du monde 1998 faisant alors son mea culpa. Sans conséquence pour les Bleus, Maghnes Akliouche (2-1, 30e) et Khéphren Thuram (3-1, 45e+1) ayant ensuite rapidement trouvé la faille.